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L’ALGERIE
Découvrez
les merveilles de l'Algérie, les
villes les traditions et les costumes traditionnels
algeriens |
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République
Algérienne démocratique et populaire
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MONUMENTS
ET HISTOIRE ET MOSQUEES EN ALGERIE
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Carrefour
de trois mondes, Méditerranéen, Musulman
et Africain, foyer d’art et de civilisation, l’Algérie
est une terre d’accueil, de rencontres et d’échanges.
Elle
présente une gamme de régions et de
villes variées et bien individualisées
par leur milieu naturel, leur histoire et leur aspect
civilisationnel
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La
Grande mosquée de Telmcen :
Située en plein centre ville, elle
est remarquable par la régularité
de ses proportions et l'imposante harmonie
de l'ensemble. Huit portes y donnent accès.
Elle occupé une superficie de 3.000
m2 environ et justifie son nom par l'importante
étendue de ses constructions. ce
fut Youcef Ibnou Tachfine, le fondateur
de la dynastie Almoravide qui aurait construit
vers 1102 un édifice d'une nudité
ascétique et Ali Ben Youcef qui en
1136 agrandit la Mosquée, embellit
le Minaret primitif, le Mihrab, la Net médiane
et la Coupole en avant du Mihrab
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Oran
est une ville algériennes les plus riches
en vestiges historiques.Prospère sous les
Almohades et les Ziyanides de Tlemcen, son port
se partageait le trafic maritime avec Rachgoun et
Honaïne. Elle fut occupée pendant près
de trois cents ans par les Espagnols (expédition
commandée par Pédro Navarro en 1509)
dont l'influence est sensible sur certains monuments.
En 1791, à la suite du terrible
tremblement de terre (2.000 victimes) et des attaques
du Bey de Mascara, le roi d'Espagne Charles Vl négocia
avec le Dey d'Alger la reddition d'0ran.
Une simple promenade
dans la vielle ville suffit pour s'en convaincre
: Espagnols, Turs ou Français les sites et
monuments racontent, chacun à sa manière,
une page de la longue et tumultueuse histoire d'Oran,
née il y a onze siècles. Mosquée
Ben Othman Mosquée du Pacha Sidi El Houari
Cathédrale Synagogue on y trouve un peu de
tout.
Palais du Bey Oran:
Ancienne résidence de la pluspart des six
Beys qui se sont succédés à
oran, le dernier étant le Bey Hassan.
La
demeure de Barberousse, aujourd'hui convertie
en musée des Arts Populaires, et les autres
palais de la Casbah rappellent le raffinement
de leurs habitants. Ainsi que d'autres photos
d'autre mosquées algériennes.
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La
Casbah. C’est, assiégée
mais non investie par la ville moderne.
l'Alger des XVI XVII et XVIII siècles
: non pas une Alger de carton pâte
pour films d'un romanesque douteux, mais
celle des vieilles estampes et des peintures
orientalistes authentiques, l'Alger telle
que Charles Quint l'a aperçue avant
de se faire reconduire à coups de
boulets, ou telle que Hadj Ahmed Bey l'a
fait représenter sur les murs de
son palais de Constantine.
Les
remparts ont disparu, mais à quelque
distance l'illusion est saisissante.
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A
pénétrer dans le labyrinthe des ruelles,
des escaliers, des impasses, des couloirs voûtés,
le romantisme s'estompe. La vétuste d'un grand
nombre d'édifices est visible et la vie moderne,
si elle a apporté électricité
et eau courante, laisse des scories
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L'architecture
de la casbah est représentée par les maisons
et de charmantes villas d'aspect pittoresque,
d'ordonnance logique, bien adaptées aux mœurs
des habitants.
L'élément essentiel en est le patio central
carré, entouré de quatre galeries, sur lesquelles
s'ouvrent autant de chambres larges et peut
profondes.
Ces maisons, à deux ou trois étages, sont couvertes
de terrasses.
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Costantine
La vieille ville
Des
minarets et des porches aux déco rations polychromes
signalent les édifices religieux. La plupart
sont époque turque, à l'exception de
la djemaa et Kebir (ou Grande Mosquée) qui
fut édifiée au XIII siècle.
A
proximité, boulevard Larbi Ben M'Hidi, dominant
la passerelle pour piétons, une ancienne medersa
occupée par des bureaux de l'Université
est ornée de carreaux de céramique polychromes.
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