Il
est nécessaire de donner un aperçu sur la femme
marocaine, qui connaît les mêmes changements que la
femme dans le monde, et surtout dans une période de transition
dans le domaine des droits de l'Homme.
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A
l’indépendance du Maroc en 1956, les femmes marocaine
sont devenues de plus en plus actives en dehors de leurs
foyers, le haïk est remplacé alors par la Djellaba
qui est en faite un habille pour les hommes.
Elle
a subi beaucoup de changement et une importante transformation
surtout pendant les quatre dernières décennies.
Elle
a gardée la même structure mais a perdu sa
coupe rigoureuse et ses couleurs sombres d’origine, excepté
quand elle est destinée aux vielles femmes conservatrices.
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Le
babouch est considéré comme chaussure
traditionnelle marocaine utilisé dans la vie
quotidienne de la femme |
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La femme marocaine
doit d'abord être considérée comme une personne
qui jouit de la garantie de ses droits, et qui a surtout de forts
espoirs dans le futur.
Nous
pouvons admirer la décoration et le style marocain
de leur maison, on remarque le décor accueillant de
la demeure tout en conservant le thème traditionnel. |
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Cet
aperçu donne aussi une idée sur les conditions de
vie de la femme marocaine, ses souhaits, espoirs et rêves,
ses réalisations, projets, ses capacités intellectuelles,
ainsi que ses talents. Par la même occasion, il nous montrera
comment la femme marocaine se considère t-elle, et comment
voit-elle sa diversité.
Elle
est ambivalente dans le sens ou elle garde toujours les valeurs
culturelles marocaines à l'intérieur de son foyer,
et exerce la modernité en dehors de son ménage.
Récemment,
la femme marocaine a commencé à s'organiser dans
des associations, s'éduquer, et à créer son
espace de liberté, afin de lutter pour l'obtention de ses
propres droits, même dans des endroits où les hommes
règnent, que se soit dans le domaine politique ou dans
les activités sociales.
Il
est important de noter que malgré tout le progrès
qu'a connu la femme marocaine, elle est toujours ambiguë,
elle a très peu de connaissance de droit. Elle a aussi
le paradoxe d'autocensure féminine, une éducation
insuffisante, spécialement dans les zones rurales.
Au
Maroc, le vêtement traditionnel est la djellaba,
longue robe à capuchon et à manches larges. Pour
les occasions spéciales, les hommes portent aussi des chapeaux
appelés tarbouchs ou fez. Les hommes d’origine berbère
porteront un turban blanc, des sandales en cuir de chèvre
et des poignards finement travaillés. Les femmes marocaines
demeurent nombreuses à suivre la tradition islamique et
à porter le voile en public. À la maison comme aux
réceptions, elles s’habillent de robes longues, ou cafetans.
Si nombre de Marocains portent toujours les vêtements traditionnels,
la mode vestimentaire occidentale est toutefois de plus en plus
populaire.
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L’habit
de la femme qui travaille a commencé a être
influencé par le phénomène de la mode
qui a résulté de l’échange intensif
avec d’autres pays pendant le 19ème siècle,
c’est le cas pour le caftan qui est d’origine turque ou
même chinoise.
Il est toujours resté jusqu'à maintenant le
plus important garnement interne de la femme marocaine.
Photos
proposées par yasmina que nous remercions pour la
<<=richesse des photos proposées. =>> |
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Malgré
tous les changements que connaît l’habillement traditionnel
sous la pression de la vie moderne, constitue l’élément
le plus important dans l’habit féminin dans toutes
les classes sociales. |
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Il
suffit que la personne se trouve dans une cérémonie
de mariage ou durant une fête religieuse pour remarquer
à quel point les femmes et les hommes marocains sont
fidèles à leur belle tradition. |
La femme marocaine
dans la ville, contrairement à la femme rurale (dans le
haut et le moyen atlas), ne pouvait pas circuler dans les rues
sans haïk (du moins pendant les années cinquante).
Le haïk est un large tissu de coton ou de laine de à
peu prêt 5 mètres de longueur sur 1.60 M de largeur
qui couvre le corps de la femme ainsi que son visage.
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